Plusieurs thèmes ont été évoqués au cours de cet entretien, dont notamment :
- La question du problème foncier comme frein au développement des communes, à l’occasion de la visite en Polynésie d’une délégation sénatoriale menée par M. Michel MAGRAS, sénateur de Saint-Barthélémy, président de la délégation sénatoriale à l'outre-mer.
- La récente visite du président de la République M. François HOLLANDE.
Interrogé sur le vote du FIP 2016, le président du SPCPF a indiqué que la présidence du comité des finances locales (CFL), devait être assurée par un maire, le fonds intercommunal de péréquation (FiP), étant un fonds à destination des communes. Il s’est inquiété également du montant en baisse de la DGF et a demandél e maintien de ce dispositif pour les communes à hauteur de un milliard de francs CFP, ainsi que sur le niveau de l’assiette fiscale du FIP remise en cause par le Pays.
Sur les communes associées, et la volonté de certaines d’entre-elles de dé fusionner et le rôle du maire délégué, le président a réaffirmé la position du SPCPF : c’est une décision qui appartient aux conseils municipaux des collectivités concernées.
Dernier point abordé : la délinquance des jeunes et le rôle des familles dans l’éducation, et les moyens dont disposent les communes pour occuper la jeunesse.
